• Nous avons procédé de façon exhaustive par l'utilsation de certains magazines (pour nous enrichir sur le sujet) tels que:
    Cosmetique Magazine Mensuel n° 65, Fevrier 2006
    Cosmetique Magazine Mensuel n°66, Mars 2006
    Cosmetique Magazine Mensuel n°67, Avril 2006

    De plus, nous avons comme sources via internet, les adresses suivantes concernant les contacts des ventes par correspondance :

    http://www.danieljouvance.com/asp/fr
    http://www.annuaire-bleu.com/cosmetique.php
    http://www.vsv-versandhandel.ch/francais/membres-detail.cfm
    http://www.francesurf.net/cosmetique/index,0,0,0,861.htm
    Association Suisse de vente par correspondance (ASVPC).


    Les sites internet relatifs aux cosmetiques, utilisés comme supports:

    http://www.lesechos.fr/info/rew_conso/4420464.htm
    http://www.journaldunet.com
    http://beaute.afrik.com/Ethno-cosmetique-un-concept.html
    http://www.loreal.be/_fr/_be/passion/listing_art.aspx?sr=8
    http://www.linternaute.com/femmes/dossier/0310cosmethommes/4interview.shtml




    Les colloques sur les cosmétiques :

    http://www.acb.bretagne.org/algues.htm
    http://www.aret.asso.fr/arcol99.htm

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  • Dans cette partie, nous nous sommes permises de faire apparaître deux concepts novateurs en marketing. Il s'agit de l'ethno-cosmetique en premier et le marketing au masculin en deuxième.

    L'ethno-cosmétique, en Europe, désigne la cosmétique qui s'adresse aux peaux noires et métissées. C'est avant tout un concept marketing dont le seul mérite est de traduire une réalité. Celle de la prise en compte d'un marché devenu incontournable pour les grandes entreprises de l'industrie cosmétique.
    L'offre ethno-cosmétique concerne, en Europe, les produits cosmétiques destinés aux peaux noires et métissées et aux cheveux crépus, frisés et défrisés. Ce terme, né il y'a plus d'une dizaine d'années, prend de plus en plus d'ampleur avec l'entrée effective ou annoncée de grands groupes européens sur ce segment devenu incontournable. La manne que semble représenter ce marché ne laisse aucune entreprise indifférente. Pourtant en France, il est difficile de déterminer de façon exacte la population concernée et pour cause les statistiques sont quasi inexistantes car leur établissement reposerait sur un critère racial.
    Un marché plutôt méconnu et qui tend à se développer.
    Les peaux noires sont celles qui enregistrent une activité intense de ce pigment qu'est la mélanine. Chaque être humain en est doté, il s'agit juste d'une question d'expression. Plus il est exposé au soleil, plus la mélanine s'exprime en jouant son rôle de filtre solaire. Ainsi les peaux noires présentent des spécificités qui commencent peu à peu à être prises en compte, du moins en Europe. Il est cependant possible d'avancer quelques chiffres.
    Softheen-Carson, la filiale « ethnique » de l'Oréal estime que sa cliente potentielle dépense trois fois plus, hors coiffure, que la Caucasienne (Blanche, ndlr). On estime par ailleurs qu'une femme noire utilise neuf fois plus de produits capillaires, sept fois plus de maquillage et cinq fois plus de produits de soin qu'une femme blanche dans les mêmes conditions. Les femmes noires auraient une nette préférence pour les produits embellissant comme le maquillage ou, de façon marginale, les produits éclaircissants dont raffolent les femmes africaines. Une situation qui explique la présence de petites marques sur le segment, par ailleurs inondé par une multitude de marques américaines.
    Ethno-cosmétique : un coup marketing
    La grande nouveauté que les grands groupes ont apportée à ce segment est leur intérêt. Un intérêt qui semble hautement valoriser la cible concernée, jusqu'ici marginalisée par l'offre cosmétique des géants de l'industrie, notamment en Europe. Les firmes du Vieux Continent ont flairé un marché qu'elles savent d'un grand potentiel. Mais elles en ignorent les caractéristiques. Une expertise dont dispose les firmes américaines et les petites entreprises qui travaillent dans le secteur. On rachète donc pour intégrer le savoir-faire. C'est le cas de l'Oréal qui a racheté les firmes américaines Softsheen et Carson, dont la fusion a donné naissance à Softsheen-Carson.
    Une méconnaissance des consommateurs que le terme ethno-cosmétique pourrait traduire. Ethnique, selon le dictionnaire Hachette, dans le sens qui se rapproche le plus du contexte, veut dire « qui concerne une population d'origine étrangère et groupée en communautés ». Une définition qui indique un point de vue extérieur que ne peut partager les populations concernées. Si l'on devait retenir une seule chose de l'ethno-cosmétique. Ce sera la chose suivante : un terme inadéquat dont le seul mérite est de traduire la nouvelle dynamique que connaît le marché des peaux colorées en France et en Europe.


    http://beaute.afrik.com/Ethno-cosmetique-un-concept.html








    Les cosmétiques protègent et préviennent le vieillissement prématuré du corps. Ils sont définis comme étant des substances fabriquées, vendues ou présentées comme pouvant servir à embellir, purifier, modifier la peau, le teint, les cheveux ou les dents.

    Soigner son apparence devient cruciale dans une société où il faut prendre soin de son apparence pour pouvoir grimper dans l'échelle sociale ou encore pour rester compétitif.

    Les évolutions des modes de vie ont influencé les comportements masculins. L'homme utilise les cosmétiques car les notions de bien-être et de plaisir sont importantes. Il veut être fier de son corps ainsi il utilise les produits pour l'embellir.











    AU MASCULIN...


    LA FORME ET LA BEAUTÉ
    les hommes aussi...
    La coquetterie féminine a fait des jaloux ? les hommes ? En effet, ceux-ci s'intéressent de plus en plus à leur personne : pour séduire, pour se faire plaisir, pour être mieux dans leur peau, tout en restant viril et en forme. L'homme en a marre d'être vu uniquement sous l'aspect du mâle, viril, barbu, procréateur, ventru... Les voilà eux aussi entraînés comme leurs compagnes, dans le monde impitoyable de la forme et de la beauté. Nos idéologues clamaient sur tous les tons que le nouveau millénaire serait celui d'un homme nouveau, c'est peut-être celui-là, une sorte de mutant....Magazine hommes, espaces hommes, boutiques et shoppings, parfums et cosmétiques hommes fleurissent partout.


    Aujourd'hui, monsieur, fait de la muscu, de la thalasso et n'hésite pas à passer sous le scalpel du chirurgien pour se refaire une beauté.
    40% des amateurs de thalasso sont des hommes, 30% de la clientèle de la chirurgie esthétique est masculine.
    Ces 30% sont répartis ainsi : 50% calvitie, 25% paupières, 10% hanches, 10% double-menton, 5% ventre.


    Pour les hommes on se met en quatre et rien n'est assez beau pour lui : parfums, cosmétiques, eaux de toilettes, après-rasage, fringues branchées.... Sans vouloir être un Apollon ou un Adonis, quoi de plus naturel que de soigner et d'entretenir sa forme, son corps. C'est une marque de respect pour les autres et pour soi-même. Alors, monsieur, en pleine mutation, a décidé qu'il ne ressemblerait plus à l'homme des cavernes de la famille Pierrafeu... L'homme aussi veut que l'on admire sa prestance et sa musculature, c'est une question d'esthétique, de fierté. Et puis soigner sa forme à une époque où l'on exige d'être dynamique, c'est essentiel.

    Alors vive les massages, la thalasso, le footing, le body building et la coquetterie.


    Selon un sondage BVA fait pour MENNEN, voici ce que les hommes pensent de leur peau (avec réponses multiples)

    - 50 % : normale
    - 25% : grasse
    - 25% : luisante, brillante
    - 21% : sujette aux irritations
    - 53% : épaisse
    - 33% : sujette aux boutons, points noirs
    - 42% : sensible
    - 19% : fragile

    L'homme est sans doute beaucoup moins coquet que la femme, mais il est très soucieux de son apparence, soigne sa peau et son image, en particulier la tranche d'âge 20-40 ans, qui, sans complexe, n'a pas peur de tenter l'aventure cosmétiques, parfums, thalasso, une tendance forme-beauté qui se confirme et s'affirme au fil des ans, mais qui se différencie de celle de la femme. Féminité et virilité sont deux concepts différents qui appellent un marketing différent et des produits différents pour soigner souvent les mêmes choses (peau, rides,....) des choses qui ont pour chaque sexe une connotation différente. Les industriels de la cosmétologie l'ont bien compris, et certains se sont lancés sur le marché "homme" avec des produits et un marketing très spécialement lookés.

    Dans un prochain article, nous verrons de plus près ce que représentent les soins "hommes" et les produits afférents.

    [










    EN BREF

    Si vous faites un petit tour dans la rue des Francs Bourgeois, arrêtez vous chez A.POC, la boutique de d'ISSEY MIYAKE, il vous présentera sa nouvelle façon de concevoir un vêtement homme "évolutif". Original et séduisant.

    http://www.aci-multimedia.net/feminin/masculin/masculin1.htm
















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    Le marché de la beauté a été marqué, au cours des quinze dernières années, par la montée en puissance structurelle de la grande distribution, rognant les parts de marché du sélectif (parfumeries et officines).

    Depuis 1996, cette perte de parts de marché par la distribution sélective se ralentit - voire disparaît - en raison principalement de sa structuration autour de puissantes chaînes spécialisées en parfums et cosmétiques.

    - Le sélectif peut-il reconquérir le marché des soins sur lequel la grande distribution s'est massivement positionnée ? - Quelles sont les perspectives des parapharmacies ? - Quels assortiments et concepts de distribution répondent aux attentes et besoins du marché ? - Quel rôle peut jouer Internet dans la vente de parfums et de cosmétiques ? A fin 99, près de la moitié du chiffre d'affaires en hygiène-beauté-parfums était réalisée en grande diffusion, soit plus de 25 milliards de francs TTC (prix de détail).

    Les parfumeries préservent une part de marché en détail de 25 %, les officines de 9 % tandis que les parapharmacies plafonnent à 3 %.

    Après avoir ainsi estimé le marché en détail et son découpage par circuits de distribution, nous avons analysé les enjeux clés, posés aux fabricants et aux distributeurs de parfums et cosmétiques.
    Les principaux enjeux sont les suivants :
    - Le poids pris par la grande distribution
    -et la constitution de chaînes spécialisées entraînent un changement dans le pouvoir de négociation entre les fabricants et distributeurs, au profit de ces derniers.

    Si les groupes mondiaux de cosmétiques disposent des moyens marketing pour rendre leurs marques incontournables dans le référencement des distributeurs, les maisons outsiders voire les start-up doivent trouver des formes alternatives de distribution ; - La politique d'assortiment est assujettie à des exigences de rentabilité (produits à taux de rotation élevé, produits soutenus par d'importantes campagnes de communication) mais aussi d'image, en particulier dans le sélectif davantage perméable aux nouvelles gammes et marques (cosmétique orale en parapharmacie, marques de maquillage professionnel en grands magasins, etc.) ; - Les chaînes de parfumerie se sont constituées essentiellement par croissance externe ; elles n'ont pas optimisé leur politique d'immobilier commercial, ni de ce fait rentabilisé tous leurs points de vente ; - Internet offre un outil de communication indéniable, pour les marques avant tout, et le secteur des parfums et cosmétiques se prête bien à une diffusion on-line.
    Qui des fabricants, des distributeurs ou de nouveaux entrants potentiels proposera une offre adaptée et efficace sur le web ?

    Face à ces enjeux, les distributeurs ont adopté des stratégies différenciées : - La grande diffusion, contrainte par la rareté des linéaires, pourrait procéder à une montée en gamme de son offre ; - Les parfumeries poursuivent leur maillage du territoire et, à terme, devraient se déployer à l'international ; - Les parapharmacies pourraient faire évoluer leur concept vers celui de magasin de santé et de bien-être ; - Les indépendants (parfumerie, officine) pour subsister vont de plus en plus intégrer des groupements.

    L'étude que nous avons réalisée dresse un état des lieux précis, chiffré et argumenté de la distribution des parfums et cosmétiques en France.

    Notre analyse prend en compte le positionnement, les initiatives stratégiques et les performances financières de 25 distributeurs (GSA, grands magasins, parapharmacies, chaînes succursalistes, franchisées de parfumerie).
    Pour tous les opérateurs des marchés de la beauté, cette analyse est un instrument de réflexion et de positionnement essentiel.


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  • Dans le cadre de la création de notre blogg concernant le thème: Le marché des cosmétiques en France en particulier, et en Europe en général.
    Nous en sommes arrivées à nous demander:
    -Est-ce que le marché des cosmétiques, est-il toujours porteur?
    -Quels en sont les enjeux pour les acteurs présents sur le marché? 

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  • Ce blog a été crée par deux étudiantes de l'Université Catholique de Lille en Master 1 Management et Contrôle de gestion:Nadege Tsemy Wandji et Marie-Josephine Sserabidde.

    Dans le cadre du cours de Monsieur Jean-Paul Pinte en Commerce électronique, nous avons choisi de réaliser notre blog sur le marché des cosmétiques en France en particulier et en Europe en général.

    Pour plus d'informations, vous pouvez consulter son blog d'après les coordonnées suivantes:
    http://veillepedagogique.blog.lemonde.fr/veillepedagogique/weblogs/index.html

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